東洋思想から見るNEC LaVie

＜p＞＜strong＞Extrait＜/strong＞＜/p＞ ＜p＞≪ L’an de Rome 709, vers le milieu d’avril, un mois apr?s la mort de C?sar, Cic?ron ?crivait ? Atticus (Epist. ad Attic., XIV, 4) : ≪ Que pourrais-je vous mander ? pr?sent de Lanuvium ? Mais ? Rome, je crois, les nouvelles ne manquent pas. L’avenir menace…. Je g?mis de voir ce qu’on n’a jamais vu dans aucune autre r?publique : plus de ma?tre, et pas encore la libert?. Rien de plus horrible que leurs paroles, leurs projets de vengeance. Je crains aussi que les Gaulois ne prennent les armes, et je ne sais ce que deviendra Sextus. Mais quand tous les malheurs devraient fondre sur nous, les ides de mars me consolent. Nos h?ros ont fait tout ce qu’ils pouvaient faire, et ils ont m?rit? une immortelle gloire ; mais pour consommer cet ouvrage, il faut de l’argent, des troupes, et nous n’en avons point. J’attends tous les jours des nouvelles… ≫＜/p＞ ＜p＞＜strong＞Biographie de l'auteur＜/strong＞＜/p＞ ＜p＞Cic?ron est un avocat romain remarquable, engag? en politique, dont l'arme principale est la rh?torique. Son art de la parole, ses combats et son attachement ? la philosophie et ? la libert? en font un des hommes les plus ?clair?s de son temps, auteur d'une ?uvre consid?rablement vari?e, qui fait dire de lui l'un des initiateurs de l'humanisme.＜/p＞画面が切り替わりますので、しばらくお待ち下さい。

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